Norbert Borson est né le 11 novembre 1945 à Saint-Étienne dans la Loire. À partir de 1950, ses parents, Jacques Léon Borson (1917-2003) et Marie-Louise Russier (1922-2005) déménagent sur Paris où son père devient rédacteur chez « Hachette ». Norbert exerce le métier de vendeur dans différentes...
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Norbert Borson est né le 11 novembre 1945 à Saint-Étienne dans la Loire. À partir de 1950, ses parents, Jacques Léon Borson (1917-2003) et Marie-Louise Russier (1922-2005) déménagent sur Paris où son père devient rédacteur chez « Hachette ». Norbert exerce le métier de vendeur dans différentes librairies sur Paris.
En 2003, il quitte la région parisienne pour s'installer à Mende, en Lozère, où se trouve depuis 1970 son frère Christophe. Norbert est passionné de randonnées. Il effectue plusieurs treks dans le désert (Tunisie, Maroc, Algérie). Son autre passion, la photographie, l'amène à réaliser des expositions : « Portraits lozériens » à Mende, en 2003 ; « Les graphs » à Mende et à Saint-Chély-d'Apcher, en 2009 ; « Photographies d'anciennes publicités » à Mende, en 2010. à Mende, en 2010. Il participe aussi au projet « Jour de fête, In Mende » en 2011 en réalisant des portraits.
Son ancêtre, le général Jean-François Borson, né le 9 août 1825 et mort le 16 décembre 1917 à Chambéry, est polytechnicien. II a participé de 1851 à 1855 aux triangulations du Piémont, et dirigé de 1862 à 1864 les travaux de la Carte de France dans la Savoie, la Haute-Savoie et les Alpes-Maritimes. Il participe, aux côtés du lieutenant-général Castelborgo, à la bataille de Novare, en 1849, en tant que chef d'état-major de la 1re division. Il participe également à Solférino, en 1859. En 1857 il devient député à la Chambre de Turin pour le collège de Saint-Pierre-d'Albigny.
Lieutenant-colonel de l'armée sarde, il fait partie de ceux qui font le choix de la France, suite à l'annexion de la Savoie à la France. L'empereur Napoléon III lui remet la Légion d'honneur lors de sa première visite de la Savoie à la suite de l'annexion, le 5 mai 1860. En 1893, revenant à la vie politique locale, il organise avec François Descotes la droite républicaine en Savoie. À la retraite, il entame des travaux sur l'histoire militaire en Savoie. Membre de l'Académie de Savoie, il en devient président de 1895 à 1900.